Type : Concert
Genre : Pop, electro, Indie
Scène : Scène Church
Date : 19.08.2018
Ouverture du festival : 13:00
Concert : 20:30
Résumé : Projet electropoprockexperimental liégeois emmené par Anthony Sinatra de Hollywood Porn Stars
Projet electropoprockexperimental Belge (Liege) emmené par Anthony Sinatra (Hollywood Porn Stars) en activité depuis 2007, ce groupe a su construire sa carrière, un son propre et sa fan base progressivement, au fil des singles et des concerts…coup d’oeil dans le rétro!
En 2007 c’est avec le titre « Girl On TV » que le groupe se fait connaître du grand public, produit par Philippe Zdar il tourne en haute rotation sur les radios des deux côtés du pays et leur permet de donner ses premières dates dans les festivals et les clubs les plus prestigieux (notamment en support de Klaxons à l’Ancienne Belgique). Les « Pianos » distillent alors leurs compos à leurs fans sous forme de K7 6 titres désormais collectors…
Le groupe prend ensuite une pause, pour permettre à Hollywood Porn Stars de publier son second album chez Naïve et partir sur les routes d’Europe mais aussi pour composer et expérimenter en studio les prémices de leur premier album: Andromedia.
2009 marquera leur grand retour sur scène et sur les ondes, par le biais d’un nouveau single radio: « Love Hurts », et son clip, dont l’inventivité et la mise en contexte décalée provoque un buzz sur le web.
En janvier 2010 au Festival Eurosonic (festival le plus important d’Europe pour la découverte de talents émergents) le groupe se fait remarquer et décroche de nouvelles dates dans de nombreux festivals l’été suivant: Montreux Jazz Festival, Rock Oz Arènes, Les Ardentes, Dour, Francofolies de Spa… La Suisse ouvre ses portes et Couleur 3 les placent en haute rotation.
En Mai 2010 PIANO CLUB publie son premier album, intitulé Andromedia, inspiré par des univers sonores venus d’ailleurs, les titres conjuguent mélodies et arrangements vintage (évoquant tour à tour ELO, Giorgio Moroder ou Blondie) en adoptant la démarche d’une scène « synth-pop » actuelle en pleine émulation (Phoenix, Metronomy, MGMT, Yeasayer, Oh No Ono). Kaléidoscope pop hybride et audacieux, « Andromedia » est un album « à tiroirs » qui se révèle à l’auditeur comme une collection de compositions capables d’imploser littéralement à ses oreilles. Salué par la critique (voir extraits de presse ci-dessous) il regorge de singles radios: Love hurts, Not Too Old, Elephant in a Room et Take qui en sont extraits seront playlistés et clippés. Les fans de la première heure ainsi que ses nouveaux afficionados sont comblés par cette sortie et l’album se hisse dans le top 3 des meilleurs ventes belges francophones (aux côtés de Puggy, Stromae et Arno) durant plus de 31 semaines d’affilées. L’année 2011 se termine pendant que le groupe enchaine les prestations et publie en décembre un Ep de 4 titres nommé Xmas ep. Les radios réagissent et diffusent fortement l’extrait « Anything can happen ».
En 2013 un nouvel Ep 6 titres « Ain’t no mountain high » sort sous forme de vinyle « picture disc » et annonce la couleur, ce dont il est justement question avec ce deuxième album « Colore »qui sort dans la foulée. Piano Club y poursuit son odyssée de la pop moderne en offrant un mélange de genres guidé par un seul objectif : la recherche de la mélodie qui fait mouche. Le groupe reste fidèle à sa démarche tout en épurant son univers. À l’instar des singles et de leurs idoles, dont les 45 tours ont bercé leur enfance, les textes des nouveaux titres sont résolument optimistes, les arrangements fouillés et précis. Le groupe propose un refuge contre la morosité, une ode à la vie en trois couleurs.. un message d’encouragement.
Des montagnes russes aquatiques de « Ain’t no mountain high » l’hyme anti-égoiste « Me and myself », la nostalgie des amours de jeunesse « Olivia » la pop en toute simplicité avec « On the wagon ». « WYELM» et « A long time ago » plus introspectifs mais dansants, l’ovni tribal synthétique « The captain » qui interroge la fiabilité des puissants, la fin de la fête avec le tango embrumé « Sweet sensation » ; « A day like a year » clotûre l’histoire entre rêves, incertitudes et observation du temps qui passe et de ce que l’on en fait réellement. Ce disque enfonce le clou, la presse est dithyrambique et le groupe confirme les espoirs placés en lui.
Une nouvelle tournée d’une centaine de dates suit et les voit plus haut sur les affiches de concerts et festivals, la France accueille chaleureusement le disque et les concerts, le prestigieux BIME de Bilbao les invite et le groupe en profite pour multiplier les expériences visuelles et scéniques ; show accompagné d’images sur rideaux led, collaboration avec l’opéra de la Monnaie, tournée acoustique de lieux insolites et une clôture de tournée festive accompagné d’une chorale en point d’orgue.
En dix ans d’existence, accumulant les les collaborations et productions extérieures, traversant modes et courants, variant sa géométrie et cultivant une image singulière, Piano Club a défini sa signature sonore !
En 2016, le groupe fait son retour avec Fantasy Walk ! Dans ce troisième album le groupe tente de transformer le convenu en inattendu en distillant un élixir de pop moderne, combinaison d’influences eighties assumées et de mélodies astucieuses empreintes d’obsessions cosmiques.
Les harmonies éclatent sur les nappes synthétiques et les riffs ciselés ; à l’image de « Comets », single pop épique où la voix d’Anthony file vers les hauteurs, ou encore du dansant « Christine » !
Malgré un habillage aussi coloré que les bombers satinées arborées par le groupe, Fantasy Walk est un disque profond, enclin au questionnement.
Composé sur un calendrier millimétré : écriture spontanée et composition en matinée, pour un enregistrement l’après-midi, l’album distille une certaine nostalgie festive tout en plongeant à corps perdu vers un futur mystérieux.
L’évolution de la personnalité selon les périodes de la vie (Crocodiles, Everytime) des expériences et des rencontres, des joies et des peines, se conjuguent comme sur le titre « Esther ».
Comme à son habitude, Piano Club a créé son disque de A à Z. Pièce d’orfèvre, Fantasy Walk est un objet quasi artisanal, entièrement autoproduit depuis le home studio jusqu’au design de sa pochette dessinée en grande partie à main levée par l’artiste Iudi.
Sur scène, Piano Club se remet également en question et s’enrichit d’une chorale.
Douze personnes entourent la formation rock de base. Piano Club est transfiguré pour le live, des voix féminines aux percussions, la métamorphose est en marche.
En parallèle, Piano club développe une activité de production studio pour d’autres artistes, fabrique des remixes et signe des musiques pour la télévision..
Le prix de chaque ticket s'entend frais de réservation inclus pour plusieurs concerts